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3 février 2025 1 03 /02 /février /2025 10:31
Jacques Brianti, Sculpture, techniques mixtes, 2005-2019, (c) R. Giusti

Jacques Brianti, Sculpture, techniques mixtes, 2005-2019, (c) R. Giusti

Jacques Brianti, Manières de corps

par Roseline Giusti, paru dans la Revue PHAETON N° 10, thème : X, 2024, pp. 297-299

La thématique du corps innerve tout l’œuvre de Jacques Brianti. Quelles que soient les situations ou les périodes, rarement l’humain s’est absenté de ses toiles et de ses dessins. Le monde de Jacques Brianti est furieusement habité par l’humain, construit par l’humain et actionné par lui. « Sa peinture est un corps », disait le poète Serge Pey. L’artiste joue en effet du corps et de ses figures sans restriction.                

Corps glorieux (luxuriance de la chair, sensualité, plaisir, jouissance, enlacement, imbrication, agglutinement, symbiose). Ici la vie est plénitude jusqu’aux débords, rayonnement jusqu’à l’irradiation. Il n’y a pas de « viande » chez Brianti. Le corps est toujours habité, non par une âme – il n’y croit pas -  mais par ce frisson vitaliste qui loge au cœur même de son trait et transfigure toute scène en un scénario de vie, impérieux.

Corps mis en scène, dictant aux décors sa place, dressant colonnes et parois à sa mesure. Le corps se meut à l’aise dans le bâti. Si quelques paysages urbains font l’économie de l’humain, le corps négocie généralement sa présence dans son cadre de vie, en propriétaire. Il a le dernier mot et actionne les rouages. L’architecture n’est ni abri nécessaire, ni écrasement. C’est que l’artiste s’est maintes fois essayé aux décors, amples, généreux, appelant l’épopée et les mythes et l’homme y a toujours le dernier mot. Le cerveau humain commande aux effets. Son monde n’est pas dévoyé par les robots.

Corps souffrant (coutures, cicatrices, sanguinolences, cris, pleurs, larmes…). Si les scènes sont graves, il n’y a pas pour autant de chaos. La rédemption, même infime, est toujours à l’œuvre. Jacques Brianti ne consent pas à courber l’échine ; il prend le monde à bras-le-corps et surmonte vaille que vaille ses vicissitudes. A quoi bon mourir en peinture puisque la vie, sans pitié, se charge de la tâche ! Ne cherchez pas chez lui de gisant, de masque mortuaire, de visage blafard ou alanguis et bientôt exsangues… l’artiste n’aime pas les états d’âme. Et quand bien même la mort rôderait et ferait mouche, le corps ne capitule jamais tout à fait et tente une salvation. Jacques Brianti ne cesse de conjurer la fin dernière. Et le corps se sauve toujours de telle ou telle autre sorte.

Corps spéculaire, en abime, se perdant de miroirs en miroirs. Ses intimités sont au grand jour, bruyamment mises en vue, relayées. Le corps renoncerait-il à l’exposition ?

Corps mis en boîte (caché, rangé, conditionné, enfermé, condamné au silence, empêché).  Ici, la dénonciation est à l’œuvre.

Et s’il y a paysage, c’est que le corps endosse, le plus souvent, la fonction. Corps-paysage. Ses  Amers d’Adour, par exemple, sont des balises où figurent des corps féminins, sensuels repères,  livrés aux agacements du fleuve Adour.

Chacune des manières est outil pour appréhender le monde. « Son corps est une mesure » précisait Serge Pey.

*

Le corps est entier, ou par parties. Les bustes étêtés ne perdent en rien de leur superbe, les jambes ou bras détachés ont la force du corps entier. Les bouches sont à elles seules tout le discours. Jacques Brianti use de la synecdoque.

Quant aux têtes sans corps qui sont souvent des crânes, ils agissent en foule, porteurs de message. Car, même mis en pièce, le corps reste pensée et l’engagement, circonstancié ou plus universel, est au cœur de l’œuvre, par principe.

Qui plus est, le corps est toujours protagoniste. Jacques Brianti s’est-il un jour lassé de peindre l’humain ? Certes, le monde animal ne lui est pas étranger. Ses  tauromachies sont exaltées, ses croquis animaliers expressifs. Mais le corps humain a la part belle et se donne dans son impétuosité, sans  hybridation, sans clonage contre nature. 

*

Que ces corps soient en majorité des nus ne change rien au propos. Jacques Brianti a rarement recours à de belles épures. Son trait expressionniste balaye toute joliesse. Sa quête du vivant dépasse la seule recherche de contours et de carnation. Ses nus se situent au-delà. Actifs, présents, ils participent d’une action plus générale. Ils sont la condition d’accès au monde, à son monde.

 

Jacques Brianti, dessin, 1967, (c) M. Wiedemann

Jacques Brianti, dessin, 1967, (c) M. Wiedemann

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17 février 2024 6 17 /02 /février /2024 10:37

 

La chanson de Phaéton

par Roseline Giusti

         Sur l’air de Chanson pour l’Auvergnat de Georges Brassens

 

Il est pour toi ce Phaéton                                 

Du pur carat, taille à façon                             

Se mettre en quatre, c’est sa loi   

Pour habiller ta vie d’orfroi

....

A lire le texte complet dans le N°9 de la revue Phaéton

www.revue-phaeton.fr

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1 août 2023 2 01 /08 /août /2023 08:23

 

Le recueil de textes poétiques Atmosphériques de Roseline Giusti est paru.                                                 

 

 

 

Trente-sept courts récits illustrent les caprices du temps. Pluie, vent, jour radieux, brouillard, couchant, nuit étoilée, neige, canicule...autant de variations qui affectent la Nature et l'humeur des vivants.

De texte en texte, le lecteur est invité à vivre diverses situations où alternent bonheur, exaltation, nostalgie, désarroi, rêve...non sans humour.

 

…Roseline Giusti a du style et plus que ça : l’amour du monde et le désir de l’attraper et de le dire avec les mots de la prose, en autant d’instantanés …

 Les phrases sont drues, nerveuses, autant que le regard émerveillé, attendri ou inquiet. Les chutes de ces brefs récits ne manquent pas de drôlerie quand elles ne font pas partir en rêveries … 

Alain Walter, écrivain, traducteur de poésie japonaise, juillet 2023

 

C'est un beau livre. Ardent. Tendu et doux à la fois.

Marie-Hélène Lafon, écrivaine , 25 août  2023

 

Une précision du regard qui fait partager au lecteur l’émotion ressentie (...) Y contribue une richesse d’adjectifs qui joue sur toute une gamme de connotations, du familier au recherché.

Il faut bien du talent pour faire tenir dans des formes courtes tant de notations poétiques. Roseline Giusti n’en manque pas.

Patrick Rödel, écrivain, philosophe, in Rue89Bordeaux, 29 novembre 2023

 

Editions Phaéton, Collection Almandin, Bordeaux, juillet 2023

Format : 15 x 23 cm, 80 pages, illustrées de photos n&bl.   

ISBN : 9 782956 992820,

 Prix : 10 €   + frais d’envoi                                                                

En vente en librairie.

 

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1 juillet 2023 6 01 /07 /juillet /2023 09:33
André IRLINGER, luxuriance des couleurs

 

Exposition

L'Embarcadère, 19 rue Saint-Louis

81310 Lisle sur Tarn

25 juin- 2 Juillet 2023 

 

Des nappes colorées s’élancer dans l’espace de la toile, avec une vraie liberté visant à composer mille atmosphères. 

Ici, des dégradés de rose jouent avec des gammes de bleus, ou depuis peu les gris et l’estompage ont trouvé leur présence. Là, des fleurs rouges éclosent comme des feux d’artifice.
Et parfois on croit voir de luxuriants fonds sous-marins…
Le spectateur est d’emblée plongé au sein de la toile. La frontalité est abolie. L’artiste nous entraîne dans une promenade et, tel un cameraman, nous propose une suite de séquences animées.
Caractère onirique ? Oui, le rêve et ses inépuisables ressources sont le principal moteur de ces créations enivrantes.

Roseline Giusti-Wiedemann,  juin 2023

 

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24 mars 2023 5 24 /03 /mars /2023 09:31

 

[…]  Mais laissez-moi vous dire ceci, mon vieil ami : dans un monde entièrement fait pour l’homme, il se pourrait bien qu’il n’y eût pas non plus place pour l’homme. Tout ce qui restera de nous, ce seront des robots. […]                     Romain Gary, Lettre à l’éléphant, 1968

Extraits à lire dans la revue Phaéton, n°9, sept 2022

Revue Phaéton 9 rue Servandoni - 33000 Bordeaux Tel. +33 (0)5.56.15.90.68 Fax +33 (0)5.57.10.89.27 revue.phaeton@orange.fr  Facebook/RevuePhaeton www.revue-phaeton.fr

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16 décembre 2022 5 16 /12 /décembre /2022 13:30
Mayeul Irlinger Krystal, 2022

Mayeul Irlinger Krystal, 2022

Frimas de l’hiver ou sculpture sur minéral ? Les dernières oeuvres de Mayeul Irlinger surprennent.

Traces, sillons, stries, ridules, craquèlements, infimes nébuleuses en suspension… Mayeul Irlinger quitte un temps les grands panneaux colorés qu’il compose actuellement pour peindre la nature hivernale. La touche est franche, vigoureuse ou pleine de délicatesse jouant superpositions ou transparences.  Les œuvres offrent une large déclinaison de blancs, de gris, d’opalescences que des noirs profonds viennent révéler.

A moins que l’artiste nous entraîne dans un monde minéral, -roches diverses, cristal, pierres fines- laissant volontairement aux formes une certaine abstraction pour mieux révéler leur vibration sonore.

Richesses des œuvres, multiplicité des découvertes. Plasticien et musicien, Mayeul Irlinger offre une riche gamme d’interprétations.

Roseline Giusti-Wiedemann

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7 novembre 2021 7 07 /11 /novembre /2021 19:43

Pour garder trace du Cabaret (dégustation vocale et culinaire) de Territoires de la voix (musique contemporaine, Direction : Valérie Philippin) du 3 10 2021 au Garage moderne, lieu alternatif à Bordeaux-Bacalan :  

Pastiche par Roseline Giusti de la chanson de Barbara L’homme en habit rouge.

 

Voix en tabliers jaunes

Sont venus, on ne sait                 
D'ici, là-bas, de mille lieux, de toutes parts,

Des ailleurs, les plus fous,                  
Nous, on les avait nommés voix en tabliers jaunes,

De cristal et de feu,

Comme des boules arrachées, comme dérobées au chœur céleste.

Fabuleux, ils chantaient,        
S’avançant vers le public, voix en tabliers jaunes.  

*Ils s’étaient rencontrés, nul hasard,

Sur une planète un rien bizarre.

Ils tressaient des sons aux timbres étranges,

Et qui semblaient appartenir aux anges.

Qui sont-ils, d’où viennent-ils ?
Merveilleusement apparus, dites-nous, dites-nous, dites-nous, 

D’autre part, de toutes parts,
Dites-nous, quel est votre pays, voix en tabliers jaunes

*Ils ont dit venez, nous vous ferons connaître    

Ce pays d’où vous pourrez enfin naître.

Et fusaient des sons aux teintes étranges,

Et on a cru entendre gronder les anges.

Fascinés, envoûtés,

Nous les avons suivis, ceux-là en tabliers jaunes.

Nous chantions tout près d’eux,

Or et velours et sur le cœur, des pavots jaunes,  

De cristal et de feu,

Fleurs éclatées comme l’amour à la lumière.

On suivait, on aimait,

Avec eux, se vivait la vie en tabliers jaunes.

*Puis ils ont disparus, au soir

Pour des planètes encore plus bizarres, 

Enveloppées de sons aux timbres étranges.    

Ont-ils fini par rejoindre les anges ?

Apparus, disparus,

Magiciens, vrais malins, surgis au crépuscule,

Rendez-nous, les voix qui

Paraient nos vies en sons de feu de pavots jaunes.

Nos habits se ternissent,

Nos voix se fanent et ont perdu leur lumière.

Rendez-nous, les voix qui

Faisaient nos vies en sons de feu de pavots jaunes.

Voix en tabliers jaunes,

Voix en tabliers jaunes…

 

Roseline Giusti, 11 octobre 2021

 

 

Barbara  : L’Homme en habit rouge

Il venait, je ne sais,
D'ici, là-bas, de n'importe où, de nulle part,
Et d'ailleurs, on s'en fout,
Nous, on l'avait appelé l'homme en habit rouge,
De cristal, et de feu,
Comme un ciel éclaté comme l'aurore à la lumière,
Fabuleux, il marchait,
S'avançant dans le soleil, l'homme en habit rouge,
Je l'avais rencontré là, dans un bar,
Sur une planète vraiment bizarre,
Il fumait des fleurs aux parfums étranges,
Et qui semblaient l'envoyer jusqu'aux anges,
Qui es-tu, d'où viens-tu,
Miraculeusement apparu, dis-moi, dis-moi, dis-moi,
D'autre part, de nulle part,
Dis-moi, quel est ton pays, l'homme en habit rouge,
Il m'a dit viens, je te ferai connaître,
Ce pays d'où tu pourras enfin naître,
Et j'ai vu des lacs aux couleurs étranges,
Et j'ai cru entendre chanter les anges,
Fascinée, envoûtée,
J'ai suivi l'homme, celui-là en habit rouge,
Je marchais près de lui,
Rubis, velours, et sur le cœur des pavots rouges,
De cristal et de feu,
Fleurs éclatées comme l'amour à la lumière,
J'ai suivi, j'ai aimé,
Avec lui, je vivais ma vie en habit rouge,
Puis il a disparu un soir,
Pour une planète encore plus bizarre,
Parfumée de fleurs aux parfums étranges,
Il a fini par rejoindre les anges,
Apparu, disparu,
Magicien du matin, surgi de la lumière,
Rendez-moi, l'homme qui,
Faisait ma vie en fleurs de feu de pavots rouges,
Mon habit se ternit,
Mes fleurs se fanent et j'ai perdu ma lumière,
Rendez-moi, celui-là,
Qui venait, je ne sais,
D'ici, là-bas, de n'importe où, de nulle part,
Rendez-moi, l'homme qui,
Faisait ma vie en fleurs de feu de pavots rouges,
L'homme en habit rouge,
L'homme en habit rouge...

 

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26 octobre 2021 2 26 /10 /octobre /2021 14:43

Domaine de Certes

Ton pas est lent et doux sur le sentier sablonneux

Bassins, roselières et prés salés à perte de vue

Les miroitements de l’eau tiennent ton regard hypnotique

Un héron cendré, une aigrette surgissent

Le voilà distrait un instant

*

Tu t’arrêtes soudain, net

A tes pieds une forme ailée, élégante

Taille fortuite dans un bout de plastique

On croirait un Braque ou un papier découpé de Matisse

*

Détritus l’oiseau azur,  échoué là sur le sol ?

Fais écart

N’entrave pas le vol

Du volatile sublime

Tout de rebut

                                                                            Roseline Giusti, Août 2021

L'oiseau de rebut, Photo : Roseline Giusti, 15 4 2017

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11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 14:16

Mon article 

Bertrand Nivelle, l'imaginaire fertile d'un architecte vient de paraître dans la Revue Phaëton. Sept pages illustrées présentent cet architecte bordelais à la créativité féconde et aux réalisations remarquées et récompensées.

"Pensés comme de véritables outils visuels, le dessin, la maquette, la sculpture sont au coeur même de sa conception et de sa pratique architecturale. L'eau est la substance privilégiée de son monde intérieur, peuplé d'images oniriques.

...

Regardons-le dessiner. A la main, alla prima. Pour écran, le papier : feuille de carnet de croquis, vélin d’Arches ou doux japon …Pour logiciel, son esprit fertile, nourri de références littéraires, artistiques, cinématographiques… Pour seul nuancier, ses godets d’aquarelle où s’abreuve un pinceau délicat. Regardons-le sculpter. Pour seule imprimante 3D, des volumes en carton, en papier huilé ou en terre cuite, façonnés de ses mains habiles. Nous voici pris dans la houle des hautes mers, livrés aux remous capricieux des fleuves ou rêvant dans les méandres alanguis des esteys[1]. On croise des villes océanes en forme de paquebot ou de frêles embarcations. Sur les eaux plus paisibles du Bassin d’Arcachon, les maisons sur pilotis épousent le tracé du paysage environnant : Cabane La Tchanquée[2], Maison de l’oiseleur, Maison des passes…"

...

RG

 

[1].Esteys (du gascon  ruisseau) : partie d'un cours d'eau qui, soumis au régime des marées, se trouve à sec à marée basse.

[2] Cabane tchanquée : cabane en bois perchée sur pilotis, typique du bassin d'Arcachon

Revue Phaëton, Bordeaux, oct., 2020. En vente en librairie au prix de 20 E.

www.revue-phaeton.fr

Bertrand Nivelle, Volcan, aquarelle, 1990

Bertrand Nivelle, Volcan, aquarelle, 1990

Bertrand Nivelle, Salle gymnique du lycée sud-Médoc, Le Taillan-Médoc, cl. Alain Benoît, agence DEEPIX, photogr

Bertrand Nivelle, Salle gymnique du lycée sud-Médoc, Le Taillan-Médoc, cl. Alain Benoît, agence DEEPIX, photogr

Bertrand Nivelle, Maison de l'oiseleur, aquarelle, 1998

Bertrand Nivelle, Maison de l'oiseleur, aquarelle, 1998

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31 juillet 2020 5 31 /07 /juillet /2020 07:25

« Avec ses personnages de Comics populaires caractéristiques et leurs couleurs stridentes appropriées, les immenses toiles de Cyrill Perrot campent un décor américain typique, immédiatement identifiable.

Mais l’examen attentif des œuvres dévoile aussi la référence à des moments forts de l’histoire de la peinture européenne, en particulier la Renaissance et le Romantisme. Toute l’originalité du travail de Cyrill Perrot réside dans ce jeu de tensions entre ces univers distincts. Lorsque les superhéros prennent la pose, ils le font à la façon de personnages de la grande peinture. Ainsi la toile dénommée Sur les quais est une Pietà, Manhattan fait signe aux fresques de Michel-Ange à la Sixtine, Harlem à La Lutte de Jacob avec l'Ange de Delacroix, etc.

Quant à la signification, elle est riche et pertinente :

Les “décombres du rêve américain” servent de terreau à la dénonciation de la violence planétaire actuelle, quotidiennement répétée. Ce sont ces déchaînements et la dégradation consécutive de l’environnement que Cyrill Perrot entreprend de dénoncer avec de talentueux acquis de plasticien. »

Roseline Giusti

 

Centre d'art contemporain Raymond Farbos

1 bis, rue Saint-Vincent-de-Paul
40000 Mont-de-Marsan

05 58 75 55 84

 

contact@cacdeslandes.com

 

Du mercredi au samedi de 14 h à 18 h, le samedi matin de 10 h à 13 h

Entrée : 2 € 

jusqu'au 5 septembre 2020

 

Cyrill Perrot

Cyrill Perrot

Cyrill Perrot

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